
Je n’écris pas souvent dans mon blogue ces temps-ci… mais ce n’est pas parce que je manque d’inspiration!
En fait, j’écris beaucoup. J’écris chaque jour. Et mes deux histoires en cours avancent très rapidement! Je passe donc moins de temps à réfléchir à ce que je pourrais bien partager dans mon blogue…
Mais je continue à regarder des films, alors voici le film de la semaine: Ténèbres, un film d’horreur italien de 1982. C’est un autre film d’écrivain en péril, et Frissons TV en donnait ce résumé:
«Un écrivain américain à Rome est traqué par un tueur en série qui s’acharne à le harceler tout en tuant toutes les personnes associées à son travail sur son dernier livre.»
Dès le début du film, on a droit à une petite leçon d’italien tandis qu’un personnage mystérieux portant des gants de cuir noirs lit en français un livre écrit en italien. Je n’ai pas tout retenu, mais je peux vous dire que «le meurtre», en italien, c’est «l’omicidio»!
Ou plutôt, homicide doit se traduire par omicidio. Tout ça pour dire que l’italien est plus facile à lire et à deviner que le mandarin. Pour moi, en tout cas!
Le livre lu par le personnage mystérieux est Ténèbres, un livre écrit par Peter Neal, qui quitte New York pour se rendre à Rome, là où son agent lui a préparé une grande tournée de promotion. Mais dès son arrivée dans son appartement luxueux, il est accueilli et interrogé par la police: le cadavre d’une femme a été retrouvé dans l’appartement d’à côté, et elle avait des pages de son dernier livre enfoncées dans la bouche…
D’autres femmes sont tuées, l’agent de Peter s’est acheté un nouveau chapeau qui devient un élément comique et absolument inutile du film, un chien enragé poursuit une pauvre fille pour aucune raison, et il faut essayer de deviner qui est le tueur (ou la tueuse?), et à qui appartiennent les souvenirs étranges qu’on voit de temps en temps dans des flashbacks.
Malgré mes efforts, je n’ai pas réussi à deviner qui était le tueur… ah, en fait, il y en avait deux, finalement! Ou trois, si on compte la statue aux longues pointes en miroir qui décide de s’en mêler et de mettre un terme à tout ça. Et Peter n’était pas exactement un écrivain en péril, mais plutôt un écrivain fou…
Je dois dire qu’il n’était pas très sympathique comme personnage, et qu’il n’avait pas l’air de vraiment se soucier des meurtres qui semblaient inspirés par son livre.
Et j’avoue que ça me fascine, à quel point il y a plusieurs films dont l’histoire tourne autour d’un écrivain qui voit des éléments de ses livres devenir réels…