Mon roman préféré a 1 an!

Mon roman La quête de Marianne a été lancé le 7 janvier 2022. Ça a été un lancement très simple : pas de trompettes, pas de discours devant une foule en délire, pas de buffet gratuit, pas de feux d’artifice. Le genre de lancement qui passe facilement inaperçu.

Des gens l’ont commandé quand il est sorti, et un peu par après… Mais maintenant, c’est pas mal fini. Disons que mon bébé n’a pas eu le succès auquel, en toute naïveté, je m’attendais. (Quand on est auteur, on s’imagine toujours que notre nouveau livre va révolutionner le monde, ou quelque chose comme ça… Mais ça n’arrive pas.🤷‍♀️)

J’ai reçu quelques commentaires. Positifs, oui, et ça fait du bien! Mais seulement quelques-uns. Peut-être que les autres gens qui l’ont acheté ne l’ont pas encore lu, ou qu’à la fin de leur lecture ils l’ont refermé et se sont dit «Ah, ben coudonc.» Fin de l’histoire.

Pourtant, je sais qu’il est bon, mon livre. Il y a des gens qui l’ont vraiment aimé! Et moi, je l’aime. C’est le roman dont je suis le plus fière jusqu’à maintenant. Alors pourquoi est-ce qu’il ne se vend pas? Pourquoi est-ce qu’il ne suscite plus l’intérêt de personne?

Je pense que c’est à cause de moi. À cause de qui je suis. Je ne suis pas le genre de personne qui entre dans une pièce et réclame aussitôt l’attention de tous. Je ne suis pas du genre à crier. «Regardez-moi! Écoutez-moi!»

📢 «Lisez-moi!!»

Non. Je suis introvertie, et que ce soit en personne ou sur internet, je n’aime pas avoir l’impression de harceler les gens avec des choses qui ne les intéressent pas. Et donc, évidemment, je ne suis pas douée pour vendre mes livres. Même quand je suis dans un évènement littéraire, et que les gens qui passent devant ma table ont quand même une chance raisonnable d’être là parce qu’ils aiment lire, et qu’ils ont envie de découvrir des nouveaux auteurs et des nouveaux livres.

Si je ne détecte pas sur le visage ou dans l’attitude des gens qu’ils ont envie d’en apprendre plus sur mes œuvres, je ne suis tout simplement pas capable d’être intéressante. Et il faut que je me sente à l’aise avant de commencer à faire la conversation à quelqu’un. Alors, je reste figée, avec un petit sourire poche, et je me dis bon, tant pis. Ça ne sert à rien de commencer à leur parler de mes livres, parce qu’ils ne sont pas intéressés. C’est du gaspillage d’énergie. C’est une perte de temps, pour moi comme pour eux.

Alors les gens s’en vont, et je ne vends aucun livre. C’est arrivé souvent. Pourtant, il y a toujours des auteurs, dans les mêmes évènements, qui en vendent plein, des livres. Il y en a qui sont sociables, sympathiques, charismatiques, et intéressants, de manière tout à fait naturelle.

Passer des heures seule dans mon coin à réfléchir, à écrire, à réviser, à vraiment créer un livre, pour moi, c’est fascinant. C’est ce que j’aime faire. Mais une fois qu’un nouveau livre est né, il faudrait subitement que j’aie la personnalité de quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne reste pas seul dans son coin, et qui arrive facilement à donner envie aux gens de découvrir ses œuvres.

Mais les lecteurs potentiels qui passent devant ma table pendant les salons du livre ne me connaissent pas, et j’ai l’impression que ce qu’ils voient et entendent ne leur donne pas envie de me connaître, et donc, aucune envie de me lire. C’est comme ça.

J’aime écrire. J’aime développer des personnages et créer des histoires. Je le ferais même si je savais que jamais personne ne les lirait. J’écris avant tout pour moi-même, parce que j’en ai envie et que j’en ai besoin. Mais j’aimerais bien, quand même, que des gens me lisent, et qu’ils aiment ça. Et qu’ils m’écrivent au moins un petit commentaire pour me le dire, si possible.

Comme je l’ai dit, ce n’est pas mon genre de crier pour attirer l’attention. J’aime mieux quand quelqu’un s’approche de moi, regarde un de mes livres, se montre intéressé, et me pose des questions.

C’est quel genre de livre? De quoi ça parle? C’est quoi l’histoire?

Alors c’est ce que j’ai envie de faire maintenant. Faire comme si je parlais de mon livre, qui a déjà un an, à quelqu’un qui est intéressé.

Bien sûr, écrire un texte ne garantit pas qu’il va être lu. Un texte publié sur internet, c’est facile à ignorer. Surtout un texte très long! Mais je crois vraiment qu’écrire, c’est ce que je sais faire de mieux. Alors je me lance.

Bonjour, je m’appelle Myriam, et le livre auquel je fais un câlin sur cette photo, c’est La quête de Marianne. C’est vraiment le roman dont je suis la plus fière! 🥰 Je l’ai préparé dans ma tête pendant des années, avant de l’écrire.

Oui, pour vrai! Avant de commencer à l’écrire, j’avais déjà travaillé dessus pendant plusieurs années! Et enfin commencer à l’écrire, ça a été un moment vraiment spécial pour moi.

Ah, et aussi, ce livre-là, il fait un peu partie d’un casse-tête. Oui oui! J’ai 6 petits livres qui ont été écrits et publiés avant La quête de Marianne, et qui permettent de découvrir des personnages… j’appelle ça ma Mini Collection.

Il y a aussi une série de livres que je suis en train d’écrire… L’histoire de ces livres-là va se passer avant La quête de Marianne, et après mes minis livres. Et je pense que ça va être vraiment important d’avoir lu La quête de Marianne avant de lire la future série… faire l’inverse, et lire l’histoire de Marianne après la série, ça ne serait pas aussi intéressant… ça gâcherait plusieurs punchs, mettons! C’est mieux de lire Marianne, d’être surpris, de se poser des questions, et après ça de trouver des réponses et des explications dans la série.

Ok, mais là je m’égare… Quel genre de roman c’est, La quête de Marianne? Je ne sais pas, et c’est toujours une question qui me rend mal à l’aise parce que je ne suis pas certaine de ce que je devrais répondre… C’est un peu un roman fantastique. Un peu un roman d’aventures. C’est un peu un livre de développement personnel…? Non, pas vraiment.

Il y a un peu d’action. Des moments plus axés sur la réflexion. Un genre de début d’histoire d’amour qui ne mènera absolument nulle part. Des personnages qui font pitié, et qui sont attachants. Des monstres qui ne sont pas vraiment dangereux. Une quête du bonheur et un cheminement personnel qui, au fond, sont plus importants que l’action.

Il y a l’immensité de l’océan. Des tempêtes. Une île avec des beaux palmiers. Des coups de feu et de canon. Des épées. Du sang. Des larmes. Des mystères. Des situations inexplicables…

Ce n’est pas un livre pour les jeunes enfants, même si certains des personnages principaux sont des jeunes enfants. Quel âge devraient avoir les lecteurs, donc, au minimum? Je ne sais pas. Peut-être que ça dépend des lecteurs.

Et de quoi ça parle, au juste?

Ça raconte l’histoire de Marianne, une jeune femme qui vit dans un village minuscule, sur le bord de la mer. Elle s’occupe de Marguerite, sa petite sœur qui est capable de parler, mais qui ne parle pas. Elle s’occupe aussi un peu de Jimmy, le meilleur ami de Marguerite. Son seul ami, en fait.

Un matin, un vieux navire qui semble sorti d’une autre époque s’échoue au pied de la falaise du village. Le soir, pendant que Marianne se promène sur la plage, elle se fait enlever par deux personnages étranges qui l’emmènent sur le voilier. Le lendemain matin, le voilier n’est plus là.

En comprenant que sa sœur a été enlevée, Marguerite entraîne Jimmy et son grand-père avec elle, et ils partent dans une chaloupe. Et ils réussissent à retrouver Marianne, mais pas à la ramener à leur village…

Ils traversent donc la mer en compagnie de marins qui, comme leur navire, semblent sortir d’une autre époque. Les choses ne se passent pas tout à fait bien, mais elles pourraient être pires!

Au début du voyage, le capitaine ne veut pas voir Marianne, et il interdit à ses hommes de lui expliquer ce qui se passe! La quête de Marianne, c’est donc d’essayer de comprendre qui sont ces hommes-là, pourquoi ils l’ont enlevée, et ce qu’ils ont l’intention de faire d’elle… Mais sa quête, c’est aussi de trouver en elle le courage de se poser quelques questions qu’elle n’a jamais osé se poser, et qui pourraient améliorer sa vie et celle de Marguerite.

Si je pouvais dire tout ça à chaque personne qui s’approche de ma table pendant un évènement littéraire, en étant dynamique et passionnée, je pense que ça serait merveilleux!

Pourquoi le deuxième exemplaire est plus petit que le premier? Cette version-là est en vente sur Amazon… et hélas pour moi, sa mise en page intérieure est bien meilleure que celle de l’autre version, dont j’avais commandé une centaine d’exemplaires. Donc, à mon avis, le livre est plus beau si vous le commandez sur Amazon.

La quête de Marianne est disponible en format imprimé et en format numérique. Il y a tous les liens utiles sur mon site internet.

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