Comment aider un auteur ou une auteure sans dépenser d’argent

Une des meilleures manières de faire plaisir à une auteure indépendante comme moi, c’est bien sûr d’acheter ses livres, de les lire, et de lui dire qu’on les a aimés.

Mais même quand on n’a pas assez d’argent pour acheter des tonnes de nouveaux livres, il reste quand même certaines petites choses très simples qu’on peut faire pour aider les auteurs et leur montrer notre soutien.

J’en ai dressé une petite liste sur un feuillet que je place sur ma table quand je participe à un évènement littéraire, mais comme c’est important de se rappeler tout ça de temps en temps, voici une liste agrémentée par quelques explications!

Suivre ses réseaux sociaux et interagir avec ses publications

Que vous préfériez Facebook, Instagram ou TikTok, vos auteurs préférés s’y trouvent peut-être. Pour montrer votre soutien à un auteur, suivez-le sur les réseaux sociaux, et plus important encore, interagissez avec ses publications.

Parce que c’est toujours agréable, quand on se donne la peine de créer du contenu divertissant ou de poser des questions à nos abonnés, de voir que ça ne passe pas inaperçu!

Voici où vous pouvez me trouver:

Vous inscrire à son infolettre

Les réseaux sociaux, c’est bien, mais à cause des algorithmes, on ne voit pas toujours toutes les publications des pages auxquelles on s’abonne. N’est-ce pas?

Si l’auteur que vous voulez encourager a une infolettre, n’hésitez pas à vous abonner pour recevoir de ses nouvelles par courriel.

Pour ma part, mon infolettre s’appelle le C.L.L.E.M.P., ou Club des Lecteurs et Lectrices Enthousiastes de Myriam Plante

Vérifier si ses livres sont offerts à votre bibliothèque locale

Si les livres de l’auteur que vous voulez soutenir sont à votre bibliothèque locale, vous pouvez les lire gratuitement! Et ça donne quelques sous à l’auteur… non?

Hum… pas exactement. Pour qu’un auteur gagne de l’argent grâce aux bibliothèques, il faut tout d’abord que ses livres soient inscrits au Programme du droit de prêt public du Conseil des arts du Canada. Ensuite, il faut que la bibliothèque dans laquelle se trouvent ses livres fasse partie de l’échantillonnage du programme.

Si ces conditions sont respectées, alors oui, un auteur va recevoir un chèque, une fois par année. Ça n’a pas rapport avec le nombre de fois que son livre est emprunté, mais bien avec le nombre de fois qu’il est trouvé dans les bibliothèques faisant partie de l’échantillonnage du programme.

Ce qui m’amène à mon prochain point:

Demander ses livres à votre bibliothécaire

Si les livres d’un auteur ne se trouvent pas dans votre bibliothèque locale, vous pouvez en faire la demande à votre bibliothécaire. Si les livres de l’auteur sont en vente dans une librairie agréée, la bibliothèque pourrait décider de les acheter.

Mais, hélas pour les auteurs autoédités dont les livres ne sont pas dans les librairies, les bibliothèques ne peuvent pas acheter leurs livres directement auprès d’eux.

Il existe quand même une manière de procéder autrement: à la demande d’une bibliothèque qui voulait acquérir certains de mes livres, je les ai vendus à une librairie indépendante qui elle, les a vendus à la bibliothèque en question.

Mais pour que ça soit possible, il faut d’abord qu’un lecteur ou une lectrice en fasse la demande!

Emprunter ses livres et les lire

Oui oui, une fois que le livre que vous vouliez lire sans avoir à l’acheter fait son apparition dans votre bibliothèque, votre prochaine mission est de l’emprunter et de le lire!

Lui faire parvenir vos commentaires après votre lecture

Ça aussi, c’est très important! Ne prenez pas pour acquis que des hordes de fans ont déjà écrit à l’auteur pour lui dire qu’ils ont dévoré son livre et qu’ils en redemandent. Beaucoup de gens ne le font pas… alors pour vraiment faire plaisir à un auteur, faites-le!

Écrivez-lui un petit mot, ou ajoutez un commentaire bienveillant sur la page Amazon de son oeuvre, dans un groupe de lecteurs passionnés, ou dans votre blogue si vous faites des chroniques littéraires.

Personnellement, j’aime quand mes lecteurs me donnent leurs commentaires sur mes livres dans mon blogue.

Parler de ses livres à quelqu’un d’autre

Pour finir, si vous aimez un livre, n’hésitez pas à en parler à d’autres gens, que ce soit en personne ou sur internet.

Peut-être que grâce à vous, une autre personne empruntera le livre en question à la bibliothèque, ou mieux encore, l’achètera auprès de l’auteur.

Parce que même le Kraft Dinner de marque maison coûte de plus en plus cher, et qu’il faut bien que les auteurs indépendants gagnent un peu d’argent pour pouvoir se nourrir! 😜

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Des salons de toutes les tailles

Les 9 et 10 avril 2022, j’étais au Salon International du Livre de Québec avec mon roman La quête de Marianne!

Ça fait donc maintenant un an que j’ai fait l’expérience d’un gros salon du livre. Je n’y retourne pas cette année. Peut-être que j’y retournerai un jour… on ne sait jamais!

Je garde de bons souvenirs de cette expérience. C’était immense… il y avait des kiosques et des livres partout. Et beaucoup de gens! Des gens qui étaient là pour acheter des livres, wow!

Je me souviens que j’étais tellement excitée et fière de me prendre en photo sur le tapis rouge! La responsable m’avait dit que les photos pourraient entre autres choses servir à illustrer les pages Wikipédia des auteurs. Je n’ai pas de page Wikipédia, et personne (à part moi) n’avait besoin d’une photo de moi sur le tapis rouge, mais j’étais là quand même.

Les visiteurs étaient bien sûr surtout venus pour rencontrer des vedettes. Et moi, petite auteure inconnue qui était présente à un kiosque d’auteures indépendantes, j’ai quand même réussi à vendre six exemplaires de mon roman!

Ça a quelque chose de magique, quand j’y repense. Surtout si on considère que pour moi, ce qui est normal dans un évènement littéraire, c’est de ne vendre aucun livre, ou alors un ou deux, si j’ai de la chance!

C’est sûr que plus il y a de gens, plus il y a de chances que quelqu’un remarque mes livres et s’y intéresse. C’est logique. Mais en même temps, plus il y a d’auteurs connus, et plus c’est difficile pour les inconnus d’avoir de la visibilité!

Un autre beau souvenir du SILQ 2022: si ce n’est pas cette attitude aussi amicale que gagnante qui a incité les gens à acheter mon livre, je ne sais pas ce qui s’est passé!

C’était donc une expérience excitante et prestigieuse de participer à ce gros salon. Mais je dirais que de manière générale, je préfère les salons plus petits.

Comme samedi dernier, à St-Isidore-de-Clifton… On était environ une vingtaine d’auteurs rassemblés dans une petite salle, et c’était parfait. C’était le tout premier salon du livre de ce village, et les gens étaient au rendez-vous!

Comme quoi ce qui est le plus important, ce n’est pas la taille de la ville ou la renommée du salon du livre.

Ce qui est important, c’est l’intérêt des gens. Leur présence. Leur envie de découvrir quelque chose de nouveau, d’acheter des cadeaux pour leurs petits-enfants, et d’encourager des auteurs indépendants.

Et c’est aussi important, pour moi personnellement, de me remémorer des évènements qui se sont super bien passés et où j’ai eu du plaisir. Je pense que ça va m’aider à être motivée et enthousiaste pour les prochains!

D’ailleurs, il y a 2 évènements annoncés sur la page Évènements de mon site internet

Ok, je viens de découvrir quelque chose!! 🤯 J’ai repensé à l’histoire des pages d’auteurs sur Wikipédia, dont je parle dans la légende de ma photo de tapis rouge… Et figurez-vous donc que, tout en n’ayant pas de page d’auteure sur Wikipédia, j’y ai ma photo prise lors du Salon l’année passée!

Oui oui, c’est vrai: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Myriam_Plante.jpg

Ma face est sur Wikipédia! À moi la gloire et la notoriété!!

Ça fait 8 ans que j’essaie de vendre des livres!

Aujourd’hui, c’est un jour spécial. Il y a 8 ans, c’était le lancement de mon tout premier roman, Le Parfum du Vent! 🥳

Mes livres n’ont pas tous eu droit à un lancement… mais celui-là, le premier, ça a été un bel évènement! Des amis, des voisins, des membres de ma famille étaient rassemblés dans la salle de la bibliothèque pour m’encourager, profiter du buffet, acheter mon tout premier livre, et faire la file pour que je leur écrive une dédicace. J’ai même reçu des cadeaux!

Mes autres bébés ont eu des venues au monde moins spectaculaires. Mais j’en ai publié beaucoup, des bébés livres, en 8 ans, et je suis fière de chacun d’entre eux.

Ça fait 8 ans depuis mon premier livre… ce qui veut aussi dire que ça fait 8 ans que je suis «officiellement» devenue une auteure, et que ça fait 8 ans que j’essaie de vendre des livres.

C’est donc une journée spéciale où je célèbre cet anniversaire important, mais où je me rends aussi compte que même si ça fait 8 ans que je fais ça, ce n’est pas devenu plus facile qu’avant, pour moi, de vendre mes livres.

Je pense que j’écris mieux, plus souvent, et plus rapidement. Mais je suis toujours pourrie pour vendre mes livres. J’essaie. Je participe à des évènements, j’invente des promotions, je partage des extraits et des images… Mais il ne se passe pas grand-chose.

Heureusement que les livres n’ont pas de date d’expiration! Ça fait 8 ans que ces dragons-là dorment dans une boîte en carton…

Avec de la chance et de la persévérance, peut-être que quand je vais célébrer le 16e anniversaire de mon premier roman, je vais être rendue une pro de la vente et du marketing, lue et appréciée par des centaines de gens qui seront excités de parler de mes livres avec toutes leurs connaissances.

Peut-être.

En attendant… je vais continuer de faire de mon mieux. Et je tiens à remercier ceux et celles qui me lisent depuis le début, qui accueillent chacun de mes nouveaux bébés avec joie, et qui sont impatients de lire mes prochaines histoires. Vous n’êtes pas nombreux, pas assez pour que je devienne une auteure connue avec des best-sellers à son actif, mais vous êtes là, et je l’apprécie beaucoup.

Merci, merci, merci! 💕

Je continuerais quand même d’écrire et de publier mes livres sans votre soutien… mais ça serait beaucoup moins le fun!

Oh, et si ça vous tente de m’aider à vendre des livres en achetant des livres, il y a tous les liens pour ça sur mon site internet au www.myriamplante.com.

Films et nostalgie

C’est bien connu: je n’attends pas la période de l’Halloween pour écouter des films d’horreur. J’en écoute toute l’année.

Pour faire différent, j’ai donc eu l’idée de revisiter des classiques de mon enfance, comme par exemple, Ernest à la chasse aux monstres!

Je me souviens d’avoir vu ce film-là plusieurs fois quand j’étais petite… La vie était dure, dans ce temps-là: quand on voulait revoir un film qu’on aimait, il fallait attendre qu’il passe à la télé. Maintenant, il existe plusieurs autres options, comme par exemple ma collection de DVDs. (Hé oui, je suis démodée de même, moi, je n’ai pas Netflix ou un autre truc du genre!)

J’avoue que je ne sais pas trop pourquoi Ernest était un de mes héros d’enfance… En plus, comme mon DVD est seulement en anglais, qu’il n’y a pas de sous-titres, et qu’il parle vraiment vite, j’avais de la misère à comprendre tout ce qu’il disait! Je pense qu’en fait j’ai toujours trouvé ça cool que, même si c’est un adulte, il ne se comporte pas comme un adulte normal, et ses seuls amis, dans le film, sont son chien, et des enfants avec lesquels il construit une super cabane dans un arbre.

Peut-être que j’ai toujours su que, comme Ernest, je ne serais jamais une adulte normale… sans toutefois devenir aussi intense et stupide que lui! 🤪

Le film est ridicule, mais il y a quand même une scène qui m’avait vraiment fait peur dans le temps. Celle où la petite fille regarde sous son lit, en s’attendant à y voir un troll… et quand elle se relève, le troll est à côté d’elle dans son lit!

À cause de cette scène-là, quand je ressentais le besoin de vérifier s’il y avait un monstre sous mon lit, je me couchais toujours de travers sur mon matelas pour ne pas qu’un monstre puisse venir se coucher à côté de moi sans que je m’en rende compte. Tsé, on n’est jamais trop prudents!

J’ai aussi l’intention de regarder Casper, un autre film qui a été très important dans mon enfance! Je me souviens d’être allée le voir au cinéma… Et j’avais eu plein de marchandise de Casper, comme par exemple cette figurine qui brille toujours dans le noir, même si elle a un peu jauni avec les années.

Je pense que ce que j’aimais le plus dans le film, c’est la maison, et surtout le passage secret qui mène dans le sous-sol. Et aussi, le fait que ça se passait dans le temps de l’Halloween, comme le film d’Ernest! C’est toujours cool de voir les décorations et les costumes des gens.

Avant l’année passée, je n’avais pas vu la plupart des films de la franchise Halloween. Les seuls que je connaissais vraiment, ce sont ceux de Rob Zombie.

Ces films-là ne me rendent pas nostalgique de la même manière qu’Ernest et Casper. Ce n’est pas le même genre de films, non plus! Mais comme c’est avec eux que j’ai découvert Michael Myers, quand j’ai regardé les films originaux, je ne pouvais pas m’empêcher de faire des comparaisons avec la version de l’histoire que je connaissais déjà.

J’ai écouté le premier l’autre soir… et j’ai découvert que plusieurs des évènements dont je me souvenais se passaient en fait dans le deuxième film. Lui aussi, je me souviens très bien de l’avoir vu au cinéma. Je devrais le réécouter ce soir…

Après tout, l’Halloween, c’est demain! Après ça, ça ne sera plus pertinent d’écouter des films d’Halloween.

Heureusement que, comme mon ami Ernest, je ne me soucie pas vraiment de faire ce qui est pertinent…

Et vous, est-ce qu’il y a un ou des films qui vous rappellent des souvenirs d’Halloween? 🎃📺

Joyeuse Halloween, les amis! Soyez prudents…

Les couleurs d’octobre

L’automne est ma saison préférée, pour plusieurs raisons.

Les canicules de l’été sont finies. Il y a l’Halloween, et ma fête. Les chandails à capuchon chauds et les couvertures douces font partie de la vie quotidienne. Le thé et le chocolat chaud semblent goûter encore meilleur. Il y a des citrouilles dans les épiceries, et une dans mon salon. Et il y a des couleurs magnifiques dans les arbres!

J’ai toujours trouvé que les belles feuilles colorées ne restaient pas assez longtemps dans les arbres… Elles tombent beaucoup trop vite! Mais dans le fond, si elles restaient accrochées aux arbres pendant la moitié de l’année, elles deviendraient moins spéciales.

Le fait que ces couleurs-là soient temporaires les rend encore plus extraordinaires. Et cette année, j’ai eu la chance d’aller en profiter pleinement en visitant le Sentier des Cimes de Saint-Faustin-Lac-Carré, dans les Laurentides, avec mes parents.

Ça ne sert pas à grand-chose d’essayer de décrire la beauté des paysages que j’ai admirés avec des mots… Voici donc des photos!

On marchait sur une passerelle en bois qui se trouvait pas mal au niveau de la cime des arbres. C’était magnifique!
Là, je pense que j’avais commencé à monter dans la tour qui se trouve à la fin du sentier!
La passerelle, vue du haut de la tour!

Pendant que j’admirais le paysage du haut de la tour, je me souviens d’avoir pensé qu’un des avantages des couleurs, c’est qu’elles permettent de différencier les arbres les uns des autres. Dans le sens où, quand la forêt est toute verte, tu vois une forêt qui est verte. En octobre, tu vois une forêt multicolore, oui, mais tu peux aussi spotter chacun des arbres qui en font partie, parce qu’ils ont chacun leur couleur, leur personnalité.

Ça devient donc plus facile de prendre le temps de regarder chaque arbre individuellement… et en même temps, d’apprécier leur contribution à la beauté du splendide paysage.

Il y a sûrement une leçon profonde et philosophique à tirer de ces réflexions-là, du genre, ah oui, c’est comme les humains, on est tous différents…

Mais je préfère juste me dire que c’est vraiment cool de la part des arbres de nous offrir ce beau spectacle-là à chaque automne. Et qu’un jour, il faudrait vraiment que j’écrive une histoire qui se passe à l’automne, avec des beaux paysages comme ça, et que mes personnages prennent le temps de les apprécier au lieu de trouver ça normal.

Un chandail par époque!

Il y a une semaine, je suis allée voir un de mes groupes de musique préférés de tous les temps en spectacle, à Montréal. My Chemical Romance! 🖤

Ils se sont séparés pendant environ une décennie avant de revenir en force pour une tournée! Ce concert a été un moment très excitant dans ma vie, et j’ai même eu l’impression de faire un retour dans le passé, à l’époque où je découvrais leur musique.

Leur deuxième album, celui que j’ai découvert en premier, est sorti en 2004. Ben coudonc… ça ne me rajeunit pas! 🤷‍♀️

Pour commémorer cet évènement spécial, donc, j’ai acheté un chandail hors de prix après le show.

Le design de ce t-shirt est justement un hommage à la couverture de l’album Three Cheers For Sweet Revenge, paru en 2004.

En fait, je dirais qu’environ 75% de ma garde-robe doit être constitué de chandails de groupes de musique que j’aime et aimerai à tout jamais, ou qui ont été importants pour moi à un moment de ma vie. Et tous ces chandails-là ont pour moi une valeur sentimentale… Pas seulement parce qu’ils sont liés à de la musique que j’aime, mais parce qu’ils sont associés à des époques de ma vie.

Pas des années… des époques. Dans le sens où si je regarde un de mes chandails, je ne me souviens pas de l’année où je l’ai acheté (sauf si c’est un t-shirt de tournée et qu’il y a une date dessus, bien sûr!)… mais je me souviens de l’époque.

Chacun me rappelle des souvenirs, des bons moments, des intentions… Chacun évoque, grâce à une image, une période de ma vie, ou une histoire particulière.

Mes chandails sont un complément de ma mémoire, d’une certaine manière.

Si c’est un concept qui vous parle, et que vous avez bien aimé La quête de Marianne ou un autre de mes livres, sachez que j’ai dessiné quelques modèles de chandails qui sont en vente dans ma Boutique Spreadshirt.

En fait, il y a même un nouveau design que j’ai ajouté très récemment… Et il n’y a pas seulement des vêtements, pour ceux et celles qui préfèrent boire dans leurs souvenirs, ou transporter des choses dedans, plutôt que de les porter.

*** Cet article de blogue n’est absolument pas commandité par la Boutique Spreadshirt de Myriam Plante – artiste et auteure 😉😉😛 ***

Changement de livre gratuit

Pendant quelques années, j’ai offert gratuitement mon premier roman, Le Parfum du Vent, aux gens qui s’inscrivaient pour recevoir de mes nouvelles par courriel.

(Ma liste de diffusion s’appelle le C.L.L.E.M.P., c’est-à-dire, le Club des Lecteurs et Lectrices Enthousiastes de Myriam Plante!)

Le but d’offrir un livre à télécharger gratuitement, c’est de donner un aperçu de ma plume aux gens qui ne me connaissent pas… et aussi de leur donner, peut-être, le goût d’acheter mes livres.

Mais j’ai réfléchi, et je me suis dit que Le Parfum du Vent n’était peut-être pas le meilleur candidat pour atteindre ces objectifs. 🤔 À la place, j’ai décidé de mettre à jour mon Mini Livre Gratuit, qui autrefois pouvait être téléchargé par n’importe qui, et de maintenant l’offrir en téléchargement avec chaque inscription au C.L.L.E.M.P.

Ce petit livre-là est moins long à lire. Il contient des extraits de romans et quelques histoires, et je pense que ça peut donner une meilleure idée de mon style d’écriture!

Mon Mini Livre Gratuit a été un peu modifié, mais
il garde la même page couverture.

À partir de maintenant, donc, les gens qui joindront le C.L.L.E.M.P. à partir de la page d’accueil de mon site internet recevront un lien pour télécharger gratuitement la nouvelle version de mon Mini Livre Gratuit!

Ceux et celles qui sont déjà membres n’ont pas à s’inquiéter: je leur enverrai gratuitement le livre avec mon courriel du mois d’avril. 😉

Le Père Noël est passé tôt chez moi

La semaine dernière, le Père Noël est passé chez moi… sous les traits d’un livreur FedEx. Traits que je n’ai pas vus, en fait, parce qu’il a déposé 7 grosses boîtes devant ma porte avant de prendre la poudre d’escampette, comme on dit.

Donc, comme je ne l’ai pas vu… peut-être que c’était le vrai Père Noël! 🎅

Des cadeaux de Noël coûteux.

Dans les 7 grosses boîtes que j’ai reçues, il y avait une centaine d’exemplaires de La quête de Marianne! Même si la date officielle de parution de mon roman est le 7 Janvier 2022, j’ai commencé la distribution des cadeaux aux gens qui avaient précommandé leur livre. J’ai aussi vendu quelques exemplaires à des membres de ma famille et à des amis qui n’avaient pas précommandé, mais qui étaient très enthousiastes!

Disons que ça a bien fait que mon livre soit prêt dans le temps des Fêtes… J’ai envoyé quelques colis par la poste (ce qui coûte plus cher que ce à quoi je m’attendais!) et les autres vont voyager grâce à des gens de ma famille, qui me rendent un service très apprécié.

Mes bébés!!

J’aime mon livre. J’aime l’histoire que j’ai écrite. J’aime le fait que des gens l’ont précommandé, ce nouveau roman, et que d’autres se sont empressés de déclarer sur Facebook qu’ils voulaient en avoir un eux aussi.

Ça me touche beaucoup! Je suis toujours une auteure inconnue, mais ce n’est pas grave, parce qu’il y a des gens qui aiment mes livres et qui sont impatients de lire La quête de Marianne… et ça, c’est tellement beau et précieux! 😊

Joyeux Noël, et bonne année… on se reverra le 7 Janvier, c’est-à-dire, au moment où je vais officiellement lancer mon livre, tenter d’en faire la promotion, et essayer de convaincre ceux et celles qui le liront de me laisser leurs commentaires sur mon blogue (sur une page de commentaires que je n’ai pas encore créée!)

Soyez prêts!

Je suis particulièrement fière de ça… Les couleurs, wow! Dommage qu’elles soient partiellement cachées par des bandes de papier qui emballent mes bébés.

Je préfère me superviser moi-même

Lundi, j’ai travaillé comme superviseure dans un bureau de scrutin.

Bon, sachez que je n’ai pas exactement choisi ce travail… Une dame m’a appelée pour me demander si je voulais être superviseure, et comme je n’ai pas répondu immédiatement, elle a décidé que j’avais dit oui. Ça m’apprendra, à prendre trop de temps pour réfléchir! 😅

J’ai oublié de leur remettre mon insigne en même temps que le reste du matériel, mais je ne pense pas qu’ils vont en avoir besoin.

Mais je me suis dit que ça serait une bonne chose, parce que l’argent que je gagnerais pourrait m’aider à payer les frais d’impression de mon prochain livre. Je n’étais juste pas convaincue que j’étais qualifiée pour superviser qui que ce soit à part moi-même, mais j’ai étudié, je me suis préparée, et j’ai fait de mon mieux.

J’ai étudié et je me suis préparée pendant des semaines, et j’ai stressé, aussi. Finalement, les choses se sont bien passées, de manière générale. Je sais que j’ai été utile et que plusieurs de mes interventions ont été appréciées, mais j’ai aussi reçu la confirmation que je n’étais pas vraiment faite pour superviser des employés. Pour diriger. Pour être la boss.

Moi, ma force, c’est de me superviser moi-même! De décider de ce que je veux ou dois faire, et de travailler fort. C’est pratique, pour une auteure indépendante. Je n’ai pas à me demander si telle ou telle étape de la création de mes livres sera bien faite, et faite à temps, parce que je fais tout moi-même.

Comme je suis ma seule employée, ça veut aussi dire que mes projets avancent plus lentement… Mais j’aime être en contrôle. Et maintenant que j’ai fini de me préparer pour l’élection, je peux consacrer plus de temps à la révision de La quête de Marianne! 🎉

Mon objectif, pour l’instant, est d’ouvrir les précommandes au début du mois d’Octobre. Je vous en reparle bientôt!

Il faut apprécier chaque étape

Il n’y a pas beaucoup d’action dans mon blogue depuis quelque temps, mais bien sûr, ça ne veut pas dire que je ne suis pas occupée!

Comme vous le savez peut-être, j’ai terminé d’écrire mon prochain roman, La quête de Marianne. J’ai déjà proposé mes options de pré-précommande aux membres du C.L.L.E.M.P., et bientôt, le reste de la population mondiale pourra aussi précommander son exemplaire de mon livre.

Quand? Quand je vais décider que c’est le temps, et que j’ai le temps de m’occuper de ça!

Depuis quelques semaines, je travaille surtout à taper mon texte à l’ordinateur… Je l’écris sur du papier, alors il faut que je fasse ce transfert! C’est plus long que si j’écrivais directement à l’ordinateur, c’est sûr, mais en même temps, ça me permet de vraiment relire mon texte, et d’en faire une première correction.

Je travaille présentement à recopier le chapitre 35! Il ne me reste plus beaucoup de chapitres à faire…

Créer un livre, ça se fait en plusieurs étapes. Surtout quand on est une auteure autoéditée comme moi, et qu’on doit s’occuper de tout!

L’étape la plus longue, bien sûr, c’est l’écriture. J’ai travaillé sur La quête de Marianne pendant plus que 2 ans, et donc, c’est devenu une partie importante de ma vie. Surtout depuis le début de la pandémie, où je me suis mise à écrire à chaque jour de chaque mois, ou presque!

Quand j’ai eu fini d’écrire mon histoire, ça a donc été une étape, pas seulement de mon projet, mais aussi de ma vie qui s’est terminée.

Maintenant, je travaille sur une autre étape, qui consiste à réviser, corriger, modifier, finaliser mon histoire. La prochaine étape va être de faire la mise en page de mon livre… puis, de le mettre en vente, et de croiser les doigts en espérant que des lecteurs et lectrices intéressés vont être au rendez-vous!

En parallèle, j’ai aussi commencé l’étape d’écrire une nouvelle petite histoire sur mon ami Regor, pour ma Mini Collection.

Il y a des étapes plus agréables et plus motivantes que d’autres… (moi, par exemple, je ne suis pas très douée pour vendre mes livres) mais je pense que l’important, c’est d’essayer d’apprécier chacune d’entre elles, et de s’y adapter.

C’est ça, la vie d’auteure!