Henry de Courval est le fils unique du riche propriétaire d’une plantation de thé. Il aurait pu choisir de succéder à son père, mais suite à son tout premier voyage en mer, il a plutôt décidé de devenir capitaine d’un navire.
C’est un homme rêveur, et sa tendance à faire confiance aux gens et à essayer de ne voir que le meilleur d’eux le rend parfois un peu naïf. Il est optimiste, et toujours prêt à apprendre de nouvelles choses et à découvrir de nouvelles manières de vivre. C’est un peu pour cette raison qu’il a décidé de naviguer: il préfère voyager et explorer le vaste monde que de rester chez lui à faire la même chose, jour après jour.
Il est éperdument amoureux d’une jeune femme appelée Marie-Anne Perneault, qui elle, le voit comme un ami fidèle, et rien de plus.
Henry compte surtout sur son ami Flint pour faire régner la discipline à bord de son navire. Il n’aime pas du tout crier des ordres à ses hommes, et préfère leur parler calmement et honnêtement plutôt que de les punir s’ils font quelque chose qui lui déplaît.
C’est d’ailleurs pour ça que les membres de son équipage ont beaucoup de respect pour lui. Ils le voient comme une figure d’autorité bienveillante, et toujours prête à les motiver et à les aider à surmonter tous les obstacles qu’ils rencontrent ensemble.
Mais dans mon roman La quête de Marianne, Henry présente un visage différent… et pas seulement parce qu’il porte un foulard noir pour dissimuler ses traits. (Il porte aussi un chapeau beaucoup plus volumineux que celui représenté sur l’image en haut de ce texte!) Ses hommes le respectent toujours, mais ils ont aussi peur de lui. Il est alors solitaire et tourmenté; toujours aussi éloquent, mais beaucoup moins amical.
Qu’est-ce qui lui est arrivé? Je vous laisse le découvrir!
De tous les livres que j’ai écrits jusqu’à maintenant, La quête de Marianne est mon préféré. Et d’une certaine manière, je pense que j’étais prédestinée à écrire ce roman…
Dans mon adolescence, je lisais beaucoup de livres dont vous êtes le héros, et j’ai découvert Le Seigneur des Anneaux.
Le premier vrai projet de livre que j’ai commencé, et sur lequel je travaille encore des millions d’années plus tard, a été un roman dont vous êtes le héros. Et mon premier roman publié avait un dragon pour narrateur.
Mais avant… bien avant d’aimer le médiéval et le fantastique, j’écoutais du Soldat Louis. Leur premier album, dont mes parents avaient acheté la cassette que je possède encore, est sorti en 1988. J’avais donc 3 ans quand j’ai commencé à écouter de la musique qui parlait de rhum, de femmes, de navires, de ports, de tavernes, de bordels, et d’aventures de marins.
Bien sûr, je ne comprenais pas toutes les paroles à cette époque… Mais j’aimais la musique, et j’aimais le style. Je l’aime encore.
Et puis, j’ai toujours aimé être sur un bateau, être sur l’eau. Je suis pas mal sûre que je portais encore des couches les premières fois que mon père m’a emmenée à son camp de pêche. Je pouvais rester assise dans la chaloupe pendant des heures, ma canne à pêche dans les mains, à regarder l’eau et la forêt, et à juste être heureuse. Je n’avais jamais envie de descendre du bateau et de faire autre chose.
Des années plus tard, en 2003, je suis tombée en amour avec les films des Pirates des Caraïbes, et c’est probablement à partir de ce moment-là que j’ai commencé à me prendre en photo avec tous les gouvernails que j’ai pu trouver.
Cette photo date de 2005. Je crois qu’elle a été prise au Musée maritime du Québec – Capitaine J.E. Bernier, à l’Islet.
Oui oui, se prendre en photo avec des gouvernails, c’est un passe-temps comme un autre! Je suis sûre que j’ai plein d’autres photos, cachées quelque part dans des fichiers enregistrés dans les recoins les plus obscurs… Il y a aussi celle-là:
Celle-là vient de quelque part en Nouvelle-Écosse, je crois. Le clin d’oeil est particulièrement évocateur. C’est un peu comme si je disais «Checkez-moi ben aller, un jour je vais tenir un gouvernail comme celui-là, mais dans un bateau qui navigue sur l’eau pour vrai!».
Ma meilleure photo de gouvernail, c’est incontestablement celle-ci, prise lors de mon périple à bord du Roter Sand, que j’avais effectué pour me préparer à écrire La quête de Marianne:
«Yes! Je vous l’avais bien dit!»
Donc, voilà, je pense que mon parcours de vie m’avait subtilement préparée à écrire La quête de Marianne… et à écrire aussi la grande aventure sans nom sur laquelle je travaille depuis déjà un petit bout de temps.
J’aime l’eau, j’aime la mer et les voiliers. Et ce qui m’intéresse dans le fait de raconter des aventures de marins, je pense que c’est surtout l’attrait des voyages et de la liberté. Le fait d’être chez soi partout, et nulle part en même temps. Apprendre à vivre en tant qu’équipage, aussi, confiné sur un navire au milieu de l’eau, devoir travailler ensemble et braver les dangers de la nature et les mystères qui peuvent se cacher sous la surface de l’océan…
On retrouve un peu de ça dans La quête de Marianne, mais c’est surtout dans l’aventure qui va se passer avant mon roman que ces thèmes-là devraient être présents.
Je ne ferai jamais le tour du monde sur un voilier… mais je peux faire vivre des personnages qui eux, le font. Ça coûte moins cher, c’est moins dangereux, et c’est plus relax! 😉
J’ai décidé d’ajouter une nouvelle chronique à mon blogue: à partir de maintenant, je vais partager des petits secrets d’écriture, en m’imaginant que ça intéresse quelqu’un! 🙃
Après tout, mon livre le plus populaire est Comment écrire un livre selon Myriam Plante… C’est le seul de mes livres qui se vend sur Amazon, régulièrement, en version papier comme en version numérique, au Canada comme en France! (Merci d’ailleurs à tous ces gens qui achètent mon livre! C’est toujours une source de joie pour moi de voir que j’ai fait une nouvelle vente dans mon tableau de bord!)
J’en déduis donc que les gens préfèrent lire mes conseils sur l’écriture d’un livre que de lire mes livres. Ils préfèrent écrire leurs propres histoires que de lire celles que j’écris. Logiquement, si je parle de l’écriture de mes livres plutôt que de parler de mes livres, ça devrait automatiquement être plus intéressant. Non?
Ça fait déjà un peu plus qu’un mois que j’ai commencé à écrire «l’Histoire d’Henry et compagnie», comme je l’appelle parce que je ne lui ai pas encore trouvé de titre. Si vous suivez un peu mon blogue et mes projets, vous savez que cette histoire-là est reliée à mon roman La quête de Marianne.
Elle raconte en fait ce qui est arrivé au Capitaine Henry de Courval et à son équipage, bien avant La quête de Marianne.
Comme les deux projets se déroulent dans le même univers, ils vont avoir certaines choses en commun, bien sûr… Par exemple, les deux histoires sont écrites avec le même temps de narration, mais aussi avec le même mode de narration.
Dans mon livre Comment écrire, j’ai une section qui s’intitule «Décide qui est le narrateur de ton histoire». J’y mentionne que le narrateur peut être un personnage principal, un personnage secondaire, ou un dieu qui sait tout, c’est-à-dire, un narrateur omniscient.
Pour l’histoire de Marianne, j’ai choisi un narrateur omniscient. Mais j’ai décidé qu’au lieu de suivre absolument n’importe quel personnage et de partager ses motivations et ses pensées, le narrateur se concentrerait sur un personnage à la fois, la plupart du temps.
C’est-à-dire que parfois, le narrateur peut suivre n’importe quel personnage. Mais il préfère, pour chaque section de l’histoire, se concentrer sur un seul personnage, et raconter les évènements tels que ce personnage les voit et les comprend.
Dans La quête de Marianne, l’histoire est souvent racontée du point de vue de Marianne, mais il arrive que le narrateur braque son projecteur sur Marguerite ou sur Jimmy.
Dans l’histoire d’Henry, j’ai décidé de faire la même chose, mais de permettre plus souvent au narrateur de se concentrer sur plus qu’un personnage en même temps.
Concrètement: sur mon carton de planification, dans le coin supérieur droit de chaque mini fiche, c’est écrit «Pdv» suivi de la première lettre du nom du personnage mis en vedette. «Pdv», c’est pour point de vue, bien sûr.
Il y a aussi des fiches où c’est écrit «M», pour indiquer que pendant ce bout-là de l’histoire, le narrateur peut partager les pensées de n’importe quel personnage. Pourquoi un «M»? Pour Myriam. Parce que dans le fond, mon narrateur omniscient, c’est une narratrice, puisque c’est moi!
Jusqu’à maintenant, l’histoire a été présentée avec le point de vue d’Anders, de Benedict, et d’Henry. Mais à mesure qu’on rencontre de nouveaux personnages, on va pouvoir découvrir leurs pensées à eux aussi…
Pourquoi j’ai choisi de faire ça comme ça? Parce que je trouve que ça fait plus dynamique, et que ça permet de constater que les personnages n’ont pas tous les mêmes motivations ou les mêmes visions des choses…
Ah, et aussi, en tant que narratrice, je peux me permettre d’ajouter mon grain de sel, de donner mon opinion, et même parfois de juger mes personnages, ce qui est toujours le fun! 😋
Aujourd’hui est un grand jour! J’ai enfin commencé à écrire le tome 1 de l’histoire que j’appelle pour le moment « Histoire d’Henry et compagnie »! 🎉🎉
Je n’ai pas encore tout à fait fini de développer le monde dans lequel va se passer l’histoire dans mon cahier de croquis… mais j’en sais assez pour pouvoir commencer! D’ailleurs, je dois dire que c’est quelque chose de vraiment merveilleux d’être en train d’écrire, et de mentionner de manière tout à fait naturelle des noms de continents que j’ai inventés.
J’ai fait ma traditionnelle séance photos de début d’écriture! J’ai passé un agréable moment, et mon matcha latté aux fraises était bien bon. Les deux Myriam de l’ancien temps qui ont assisté à ce moment historique sont satisfaites.
Hier, j’ai pris le temps de planifier les 3 premiers chapitres de mon histoire… et aujourd’hui, j’ai commencé à écrire, dans un beau cahier que ma marraine m’avait donné à Noël.
Je n’ai écrit qu’une page pour le moment. Mais je suis satisfaite! Et soulagée. Parce que ma nouvelle histoire est officiellement commencée, et qu’une fois que le premier pas est fait, le reste vient plus facilement. Il va juste me rester à faire une petite place à ce nouveau projet en cours dans ma routine quotidienne…
Merci à ma marraine pour ce cadeau que je vais utiliser à bon escient!
En grande primeur, je vous partage la toute première phrase de mon histoire:
«Si on avait pu tous les questionner, les habitants de l’Isle Perneault se seraient certainement tous entendus pour dire que cette journée était une journée magnifique.»
Bon, ça ne révèle pas grand-chose… à part le fait que c’est une magnifique journée, et que l’histoire commence à l’Isle Perneault… la ville dans laquelle se termine mon roman La quête de Marianne.
Il y aura une certaine continuité entre les deux histoires, elles seront racontées d’une manière similaire, et c’est voulu, bien sûr. L’histoire d’Henry va raconter ce qui s’est passé entre les 6 premiers livres de ma Mini Collection, et La quête de Marianne. Si vous n’avez pas encore lu ces oeuvres… vous devriez avoir le temps de les lire, parce qu’écrire et publier un roman, c’est long!
Parlant de La quête de Marianne, j’ai reçu un beau commentaire aujourd’hui, sur le blogue des Mille et une pages de L. & M.! Disons que ça m’a fait du bien, parce que tout en me préparant à me lancer dans mon nouveau projet, je me désolais de plus en plus de comparer le nombre de gens qui ont acheté (ou téléchargé gratuitement) La quête de Marianne et le nombre de commentaires que j’ai reçus…
Je ne le dirai jamais assez: pour une auteure, surtout une auteure inconnue qui passe bien souvent inaperçue, c’est toujours apprécié de recevoir des commentaires positifs sur ses oeuvres, même s’il ne s’agit que de quelques mots.
C’est une récompense, mais aussi une source de motivation additionnelle pour continuer à écrire! ✍️
Ma principale source de motivation, elle est dans ma tête.
Un peu plus tôt ce mois-ci, j’ai eu la chance de participer au Salon international du livre de Québec. C’était mon premier évènement littéraire depuis le début de la pandémie, et j’étais un peu rouillée… et surtout, je n’ai pas l’habitude des salons du livre où il y a beaucoup de visiteurs!
Le 30 avril, j’ai un autre évènement de prévu, à Drummondville, cette fois-ci. Quelques auteurs que je connais seront présents, dont Karine et Judith, mes collègues du blogue des Trois auteures inconnues!
Mais à part ces évènements, il y a de l’action dans ma vie d’auteure inconnue. De l’action qui se déroule au ralenti…
Le premier mars, je vous parlais dans mon blogue du début de mes préparations pour écrire la longue histoire qui va se dérouler avant La quête de Marianne. Cette histoire n’a pas encore de titre, mais vu que j’ai parlé pendant longtemps de l’histoire de Marianne, disons que celle-ci va s’appeler l’histoire d’Henry et compagnie.
J’ai donc commencé par relire et classer toutes mes notes… Ensuite, j’ai commencé à travailler dans mon magnifique cahier sur lequel c’est écrit Sketchbook. Je n’ai pas commencé à écrire, non! J’ai travaillé sur la création du monde dans lequel va se dérouler mon histoire.
Mon cahier à croquis est beau, et rempli de merveilles! Ce ne sont pas des croquis dessinés, mais des croquis écrits.
C’est un monde qui ressemble au nôtre, tout en étant différent. Un monde dans lequel je crois que les aventures de mon dragon dans Le Parfum du Vent et Le Goût de l’Eau se sont peut-être déroulées, mais à une autre époque. Ça aurait du sens.
Mais l’époque à laquelle vont se dérouler les aventures d’Henry et de son équipage ressemble plus à la Renaissance qu’au Moyen Âge. Il n’y a pas de dragon dans le ciel, mais il y a peut-être des créatures inquiétantes et mystérieuses dans l’océan… océan qui accueille des navires qui servent surtout au commerce entre les différents pays et continents.
Dans les dernières semaines, j’ai donc travaillé à développer ce monde… J’ai inventé une carte, des continents, des pays, des régions, des ports. Je me suis éduquée un peu sur les marées, les calendriers et les horloges, pour déterminer une manière simple pour mes personnages de diviser et de compter le temps.
Peut-être que j’aurais dû documenter tout ça dans mon blogue… mais j’étais trop occupée à le faire pour prendre le temps d’en parler, tsé! Et puis, comme il s’agit encore d’un travail en cours, peut-être que certaines choses vont changer…
Là, il me reste encore quelques petites choses à définir. Après ça, je vais être prête à commencer à écrire le tome 1 de mon histoire!
Mais je prends mon temps… parce que j’ai peur. 😱
Oui oui, c’est tout à fait normal pour un auteur d’avoir peur d’écrire. Je sais que je ne suis pas la seule. Les auteurs peuvent avoir peur pour différentes raisons.
Dans mon cas, j’ai peur parce que j’y tiens, à cette histoire-là. Je l’aime, j’aime mes personnages, et leur histoire est importante pour moi. Donc, je veux être certaine de bien la raconter… mais comme ce sera une longue histoire en cinq tomes, ça se présente comme un très grand défi.
Même si j’ai hâte de commencer à l’écrire, je me suis rendue compte que j’essayais volontairement de retarder ce moment, en prenant mon temps.
Le plus important dans tout ça, c’est que mon désir d’écrire cette histoire va toujours être plus important que ma peur de ne pas réussir à l’écrire.
Donc, tout va bien aller! Encore quelques jours de niaisage, et après, je devrais pouvoir commencer à écrire…
Mais entre ces petits livres et mon gros roman, il y a une autre histoire… Une longue histoire. Une histoire que je n’ai pas encore écrite, qui n’a bien sûr pas encore de nom, et que je devrais commencer à écrire cette année.
Mais avant de commencer à l’écrire, il faut que je la planifie. Parce que ça ne sera pas une histoire simple à écrire: il va falloir qu’elle s’insère parfaitement entre ses deux parties déjà publiées (comme un morceau de casse-tête), il faut que j’invente le monde dans lequel elle va se dérouler, et elle va avoir plus qu’un tome.
Combien de tomes?
1… 2… 3… 4… 5…? Ayoye! Aurai-je le temps d’écrire toute cette histoire avant que la terre entière n’explose?
C’est donc un défi de taille pour moi! J’accumule des notes sur cette histoire depuis des années, mais je n’avais qu’une vague idée de ce à quoi ressemblerait le monde dans lequel mes personnages vivront leurs aventures. C’est un monde un peu semblable au nôtre, mais en même temps très différent, et l’histoire va se situer à l’époque de la voile.
Quand j’ai commencé à planifier cette histoire, j’ai tout naturellement voulu inventer le monde. Après tout, s’il n’y a pas de continents, de pays, de ports, de villes, et d’océans, un récit comme celui-là ne peut pas exister.
Puis, après des tentatives et des réflexions, j’ai constaté que ça serait mieux d’inverser mon processus de création: commencer par savoir ce qui va se passer, pour pouvoir plus facilement imaginer les endroits où ça va se passer!
Comme je serai le seul et unique dieu de cet univers inventé, autant profiter de cette occasion de pouvoir créer le monde dans le désordre.
Donc, j’ai commencé à classer mes notes, à les diviser en différents tomes, à créer des liens entre mes évènements, et à comprendre que toute cette bouette primordiale qui mijote dans ma tête depuis des années est capable d’avoir beaucoup de sens, finalement!
Le procédé a été plus intéressant, et surtout, plus simple et moins long que je m’imaginais. Maintenant que j’ai une assez bonne structure pour mon histoire, c’est le temps de me lancer de nouveau dans la conception du monde.
Donc, si vous attendez avec impatience la future histoire qui va raconter ce qui est arrivé à Henry et à son équipage entre les livres de ma Mini Collection et La quête de Marianne… j’y travaille. Mais ça va être un peu long! 🤷♀️
Mon roman La quête de Marianne est disponible depuis le 7 Janvier 2022… Ça fait presque déjà un mois complet.
Publier un roman, c’est un évènement important! C’est la célébration d’innombrables heures de travail, et une grande source de fierté. Mais ce n’est pas la ligne d’arrivée…
Ce n’est pas la ligne d’arrivée, dans le sens où on ne peut pas dire, bon, mon livre est publié, les gens peuvent l’acheter et le lire, et moi, je peux maintenant passer à autre chose.
Parce que publier un livre, ça ne suffit pas. Pour que les gens l’achètent et le lisent, mon livre, il faut que je continue de travailler, et que je cherche des occasions de lui faire de la publicité, de le rendre visible.
En fait, je pense que dans ce genre de course ou de marathon, il n’y en a pas, de ligne d’arrivée. Il n’y aura aucun moment où je pourrai me dire que mon travail sur ce livre-là est terminé, et qu’il n’y a plus rien à faire!
Tant que mes livres existent, il va toujours rester quelque chose à faire, quelque chose à essayer, quelque chose à apprendre.
Voici un aperçu de ce que j’ai fait depuis la publication de La quête de Marianne:
J’ai contacté la journaliste Manon Toupin de La Nouvelle pour une entrevue
J’ai placé des livres en consignation au Buropro de Victoriaville
J’ai contacté la Bibliothèque de Victoriaville pour leur dire qu’ils pouvaient acheter mon nouveau roman au Buropro
J’ai fait le dépôt légal de mon roman auprès de Bibliothèques et Archives nationales du Québec, et de Bibliothèques et Archives Canada
J’ai vendu un livre en allant chez le dentiste
J’ai fait parvenir, gratuitement, un exemplaire de mon livre à des lectrices qui vont en parler dans leur blogue après leur lecture
J’ai lancé une petite promotion sur Amazon, permettant à des gens de télécharger gratuitement mon livre en échange d’un commentaire à la fin de leur lecture
J’ai parlé de mon roman dans différents groupes de lecteurs sur Facebook
J’ai ajouté mon roman sur la plateforme Goodreads et sur la librairie en ligne Libraria
Je me suis jointe à d’autres auteures pour participer au Salon Littéraire de l’Outaouais avec un kiosque virtuel
Je pense que c’est tout… pour le moment!
Youppi! Mon livre, mon rideau de douche et moi, on est dans le journal! Ah, la face d’Alice Cooper est là aussi…
Si vous avez lu mon roman La quête de Marianne, je vous invite à me faire part de vos commentaires ci-dessous, grâce à l’encadré «Laisser un commentaire».
Votre opinion sur votre lecture pourrait m’aider à rejoindre de nouveaux lecteurs. C’est particulièrement important pour une auteure indépendante comme moi!
Si vous avez acheté mon roman en version numérique sur Amazon, vous pouvez aussi laisser vos commentaires à cet endroit.
Merci beaucoup pour vos commentaires et pour votre intérêt envers mon oeuvre!
J’espère que 2022 commence bien pour vous. Moi, j’ai survécu à la covid! C’est mon plus grand accomplissement de l’année, jusqu’à maintenant.
Après avoir travaillé fort en 2021, j’avais prévu de passer le temps des Fêtes à relaxer et à me ressourcer, pour ensuite être en pleine forme pour lancer La quête de Marianne.
Mais j’ai reçu la covid en cadeau pour Noël, alors les choses ne se sont pas passées comme prévu. Oh, j’ai relaxé, bien sûr. Je n’ai pas eu le choix : c’est un peu dur de faire quoi que ce soit quand on a mal à la tête, qu’on a le nez bouché, qu’on tousse comme un vieux fumeur fatigué, et qu’on se sent misérable.
J’ai relaxé, mais je ne me suis pas vraiment ressourcée, et je n’ai pas vraiment apprécié ce petit intervalle entre Noël et le Jour de l’an. Pas autant que j’aurais voulu. Il va falloir que je me reprenne la prochaine fois.
Mais c’est aujourd’hui le 7 janvier, le jour que j’avais choisi pour lancer mon roman. Alors je le lance!
Cette image est un montage : aucun roman n’a été maltraité pendant la séance de photos.
C’est maintenant possible d’acheter La quête de Marianne sur Amazon, et sur Lulu. Bientôt, ça va être aussi possible de commander un exemplaire dédicacé directement sur mon site internet, mais je préfère attendre encore un peu… juste pour être sûre à 1000% que je ne suis plus contagieuse, et que je n’enverrai pas de petits virus par la poste! 😛
Pour conclure ce lancement de livre grandiose et atypique, je demanderais bien humblement à ceux et celles qui avaient précommandé mon roman de laisser leurs commentaires dans mon blogue, en cliquant sur ce lien, à la fin de leur lecture. Merciiiiii!
Longue vie à Marianne! Et merci à mes lecteurs et lectrices d’être fidèles au rendez-vous!
La semaine dernière, le Père Noël est passé chez moi… sous les traits d’un livreur FedEx. Traits que je n’ai pas vus, en fait, parce qu’il a déposé 7 grosses boîtes devant ma porte avant de prendre la poudre d’escampette, comme on dit.
Donc, comme je ne l’ai pas vu… peut-être que c’était le vrai Père Noël! 🎅
Des cadeaux de Noël coûteux.
Dans les 7 grosses boîtes que j’ai reçues, il y avait une centaine d’exemplaires de La quête de Marianne! Même si la date officielle de parution de mon roman est le 7 Janvier 2022, j’ai commencé la distribution des cadeaux aux gens qui avaient précommandé leur livre. J’ai aussi vendu quelques exemplaires à des membres de ma famille et à des amis qui n’avaient pas précommandé, mais qui étaient très enthousiastes!
Disons que ça a bien fait que mon livre soit prêt dans le temps des Fêtes… J’ai envoyé quelques colis par la poste (ce qui coûte plus cher que ce à quoi je m’attendais!) et les autres vont voyager grâce à des gens de ma famille, qui me rendent un service très apprécié.
Mes bébés!!
J’aime mon livre. J’aime l’histoire que j’ai écrite. J’aime le fait que des gens l’ont précommandé, ce nouveau roman, et que d’autres se sont empressés de déclarer sur Facebook qu’ils voulaient en avoir un eux aussi.
Ça me touche beaucoup! Je suis toujours une auteure inconnue, mais ce n’est pas grave, parce qu’il y a des gens qui aiment mes livres et qui sont impatients de lire La quête de Marianne… et ça, c’est tellement beau et précieux! 😊
Joyeux Noël, et bonne année… on se reverra le 7 Janvier, c’est-à-dire, au moment où je vais officiellement lancer mon livre, tenter d’en faire la promotion, et essayer de convaincre ceux et celles qui le liront de me laisser leurs commentaires sur mon blogue (sur une page de commentaires que je n’ai pas encore créée!)
Soyez prêts!
Je suis particulièrement fière de ça… Les couleurs, wow! Dommage qu’elles soient partiellement cachées par des bandes de papier qui emballent mes bébés.